Dernière mise à jour : 10 septembre 2023, 06h26 IST
Londres, Royaume-Uni (UK)
Les policiers du Met ont plaidé coupables d’avoir envoyé des messages racistes extrêmement offensants sur WhatsApp contre le Premier ministre britannique Rishi Sunak et la défunte reine Elizabeth II. (Image du fichier : Reuters)
D’anciens agents de la police métropolitaine plaident coupables de messages racistes contre le Premier ministre Rishi Sunak et la reine Elizabeth II. Impact sur la confiance des policiers
Cinq anciens agents de la police métropolitaine ont plaidé coupables d’avoir envoyé des messages racistes extrêmement offensants sur WhatsApp contre le Premier ministre britannique Rishi Sunak et la défunte reine Elizabeth II, entre autres, entre 2020 et 2022. Les cinq agents ont pris leur retraite de la police entre 2001 et 2015.
D’après des rapports judiciaires, les accusations portées contre eux ont été entendues jeudi devant le Westminster Magistrates’ Court à Londres, lorsqu’il est apparu que les messages impliquaient des moqueries contre des politiciens d’origine indienne tels que le Premier ministre Sunak et l’ancienne ministre de l’Intérieur Priti Patel de même que la défunte reine. Elizabeth II et le prince Harry et son épouse, Meghan Markle.
Ont rapporté les accusations, certains messages partagés dans le groupe de discussion WhatsApp faisaient aussi référence à d’autres hauts responsables de la famille royale, tels que le prince William et son épouse Kate, et à des hommes politiques, tels que l’ex secrétaire à la Santé d’origine pakistanaise, Sajid Javid.
“Le contenu raciste et discriminatoire de ces messages est absolument épouvantable et, puisque les accusés ont autrefois servi comme policiers, nous reconnaissons que cette affaire pourrait encore nuire à la confiance dans la police”, a affirmé le commandant James Harman, qui dirige l’équipe anti-corruption et anti-corruption de la Met Police. Commande d’abus.
“Les collègues du Met seront dégoûtés d’apprendre que ces hommes ont déjà servi dans la force et seront heureux de voir le résultat aujourd’hui. [September 7]. J’espère que cette affaire démontre aussi notre engagement à prendre au sérieux toutes les allégations de criminalité et de mauvaise conduite, à enquêter de manière approfondie sur ces rapports et, quand nous avons des preuves de discrimination et d’abus, à engager des poursuites pénales contre des individus chaque fois que nous le pouvons », a-t-il déclaré.
Scotland Yard a affirmé que les officiers impliqués ont servi dans diverses parties de la police du Met tout au long duur carrière et qu’ils avaient tous passé du temps au sein du groupe de protection diplomatique, désormais connu sous le nom de commandement de la protection parlementaire et diplomatique.
Peter Booth, 66 ans, de Llandeilo, Carmarthenshire, a plaidé coupable à quatre chefs d’accusation d’envoi par communication publique de messages racistes extrêmement offensants. Il a pris sa retraite de la Met Police en avril 2001. Robert Lewis, 62 ans, de Camberley, Surrey, a plaidé coupable à huit chefs d’accusation d’envoi par communication publique de messages racistes extrêmement offensants. Il a pris sa retraite de la Met Police en mai 2015.
Anthony Elsom, 67 ans, de Bournemouth, Dorset, a plaidé coupable à trois chefs d’accusation d’envoi par communication publique de messages racistes extrêmement offensants. Il a pris sa retraite de la Met Police en mai 2012. Alan Hall, 65 ans, de Stowmarket, Suffolk, a plaidé coupable à trois chefs d’accusation d’envoi par communication publique de messages racistes extrêmement offensants. Il a pris sa retraite de la Met Police en juin 2015.
Trevor Lewton, 65 ans, de Swansea, a été inculpé d’un chef d’accusation d’envoi par communication publique de messages racistes grossièrement offensants. Il a pris sa retraite du Met en août 2009. Un sixième ancien officier de police du Met, Michael Chadwell, 62 ans, a plaidé non coupable d’un chef d’accusation d’envoi par communication publique de messages racistes grossièrement offensants et devrait être jugé. Les peines dans cette affaire seront prononcées ultérieurement.
Les accusations portées en vertu de l’article 127 (1) de la loi britannique sur les communications de 2003 faisaient suite à une enquête de la BBC en octobre de l’année dernière qui avait donné lieu à une enquête de la part de la direction des normes professionnelles de la police du Met.
(Cette histoire n’a pas été éditée par le personnel de News18 et est publiée à partir d’un fil d’agence de presse syndiqué – PTI) RohitRohit est un journaliste de News18.com passionné par les affaires mondiales et amoureux du football. Suivez-le sur Twitter à @heis_rohit…Lire la suite