L’Australie a considérablement développé ses industries pendant la Seconde Guerre mondiale alors qu’elle combattait le Japon. En conséquence, son économie a explosé, au point même qu’elle a dû lancer une gigantesque campagne d’immigration en provenance d’Europe.
De cette scène est née l’idée d’une propre voiture australienne, et GM a battu Ford avec sa proposition, souhaitant moins d’aide gouvernementale et étant déjà établi là-bas, après avoir acheté le grand carrossier local Holden en 1931.
Des prototypes d’une berline moyenne ont été créés à Détroit et envoyés à Melbourne, avec une équipe d’ingénierie de GM, par la suite un programme de tests a été mené pour garantir son adéquation à ce territoire compliqué.
Ce qui a émergé en 1948 était la 48-215, une voiture composée à 92 % de contenu local.
Elle se distinguait par son habitabilité extraordinaire (pour une voiture de taille comparable à la Vauxhall Velox du GM britannique) et sa frugalité, son six cylindres en ligne de 2,2 litres développant 60 ch et consommant en moyenne 32 mpg.
Nous nous sommes exclamés : « Sur de bonnes routes ou sur des surfaces rugueuses et ondulées, en montée comme en descente, les performances sont saisissantes et la conduite, tant à l’avant qu’à l’arrière, est confortable. L’une des qualités les plus impressionnantes est la facilité avec laquelle une vitesse élevée est atteinte et [held].
« Le Holden prend bien les virages, peut être placé avec précision dans les virages et tient la route à grande vitesse. [The car feels] admirablement adapté aux conditions australiennes.
Il n’est pas surprenant que ce soit un méga réussite, davantage après la naissance d’un « ute » en 1951, et que Holden dominait rapidement son marché intérieur.
Les nouvelles règles routières de l’ONU conviennent à la Grande-Bretagne à court d’argent
L’ONU a été créée après la Seconde Guerre mondiale dans le but d’unir les nations du monde et, au cours de sa quatrième année d’activité, elle a tourné son attention vers les routes.
Les 59 pays membres ont été invités à rejoindre une délégation à Genève, avec les nombreux étrangers. Heureusement pour la Grande-Bretagne, à court d’argent, les nombreux règles proposées étaient conformes à nos conventions existantes.