Une frappe aérienne israélienne fait au moins 40 morts dans une ville du sud qui était autrefois un refuge pour les Gazaouis

Les responsables des Nations Unies ont affirmé que la famine était une possibilité à Gaza, parce que ils ont été contraints de cesser les livraisons de nourriture et d’aide en raison du manque de carburant. Israël a annoncé qu’il autoriserait l’entrée de deux pétroliers par jour pour les opérations de l’ONU, soit environ la moitié de ce dont ils ont besoin, uniquement pour les opérations les plus vitales. Cela se produit bien que les responsables palestiniens ont déclaré que le nombre de morts dépassait les 12 000. Leila Molana-Allen rapporte.