La candidate républicaine américaine Christie déclare que Trump a esquivé les progrès au Moyen-Orient et alimenté le sectarisme

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M. Christie a effectué l’éloge de la gestion par M. Biden de la crise Israël-Gaza, notamment durant sa visite du 18 octobre en Israël, où il a rencontré le Premier ministre Benjamin Netanyahu.

M. Christie a accusé Trump de cynisme dans sa gestion de la relation autrefois largement bipartite entre les États-Unis et Israël et l’a tenu pour responsable des fractures sur Israël au sein du Parti démocrate.

M. Christie a affirmé que la politique du dirigeant américain Barack Obama avait été perçue comme favorisant les ennemis d’Israël et que Trump avait saisi l’ouverture politique qui en résultait.

M. Christie a affirmé que Trump soutenait sans réserve toutes les politiques mises en avant par le gouvernement conservateur israélien, y compris l’évacuation de l’ambassade, la reconnaissance de l’annexion du plateau du Golan par Israël, le retrait de l’accord de M. Obama avec l’Iran pour tempérer ses ambitions nucléaires et la poursuite d’accords de paix régionaux entre Israël et la Perse. Les États du Golfe qui ont isolé les Palestiniens et marginalisé leurs revendications d’autonomie politique.

“Je ne pense pas qu’il ait de principes sur ces questions”, a affirmé M. Christie. “Je pense que c’est simplement qu’il a vu une opportunité publique présentée par Obama et qu’il l’a saisie.”

M. Christie a effectué valoir que les électeurs démocrates, à leur tour, s’étaient opposés par réflexe à tout ce que Trump avait adopté de tout cœur, notamment en élisant des représentants démocrates au Congrès tels que Rashida Tlaib et Ilhan Omar, qu’ils considéraient comme de farouches opposants à Trump.

Ces nouveaux législateurs de la gauche démocrate ont par la suite ouvert une aile anti-israélienne du Parti démocrate qui met à rude épreuve l’alliance américano-israélienne.

Entre-temps, a-t-il ajouté, la cause de la paix israélo-palestinienne, autrefois considérée comme le Saint Graal de la diplomatie présidentielle, a été pratiquement oubliée.

« Je ne pense pas qu’il était équipé pour traiter d’une manière de politique étrangère une question très compliqué, voire impossible, n’est-ce pas ? Et je ne pense pas qu’il ait la moindre ambition », a affirmé M. Christie. “Je pense qu’il recherchait des scores relativement directs et faciles car son point de vue a toujours été politique.”

« Si Chris Christie pense que renforcer l’alliance américano-israélienne, déplacer l’ambassade à Jérusalem, ramener la paix au Moyen-Orient grâce aux accords d’Abraham et promulguer des lois pour protéger les Juifs américains est une solution facile, il vit clairement dans un monde imaginaire et non imaginaire. ancrée dans la réalité », a affirmé M. Steven Cheung, porte-parole de la campagne présidentielle de Trump.

M. Christie n’a pas tardé à dire qu’il ne blâmait pas Trump pour les violentes hostilités en Israël.

Le moment choisi pour l’attaque du Hamas reflète une dynamique géopolitique plus large avec l’Iran, la Russie et la Chine, a-t-il expliqué.

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