Raphaël Grossi :
Cela va au cœur de ce que j’essaie de faire.
Au départ, nous travaillions à l’établissement d’une sorte de zone pour protéger l’usine. Avec ce niveau accru de bataille et d’activité militaire, vous ne trouverez aucun commandant ou officier militaire qui va vous dire, je ne vais pas là-bas, ou je vais ici ou là.
Donc, je me concentre sur les choses qui ne devraient pas être faites. Par exemple, ne tirez pas sur la plante. C’est réalisable. Ou un autre engagement très important, ne pas employer l’usine comme base militaire. Donc, ce que je veux, c’est que tout le monde soit d’accord avec moi. Être d’accord les uns avec les autres à ce stade est impossible.
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