Le prince Harry est arrivé à la Haute Cour de Londres pour assister à une audience dans sa plainte contre Associated Newspapers Limited pour des allégations de collecte illégale d’informations.
Les avocats du duc de Sussex, qui vit désormais en Californie avec sa femme, Meghan, ont demandé à un juge plus tôt ce mois-ci de déclarer qu’un tabloïd avait diffamé le royal britannique avec un article sur sa quête de protection policière quand lui et sa famille visitent le ROYAUME-UNI.
Harry poursuit l’éditeur de Mail on Sunday Associated Newspapers Ltd pour un article alléguant qu’il a tenté d’étouffer sa contestation judiciaire distincte a propos le refus du gouvernement britannique de le laisser payer pour la sécurité de la police.
Le duc de Sussex a rejoint l’année dernière un groupe de personnalités, dont le chanteur Elton John, dans une action en justice contre l’éditeur du Daily Mail, du Mail on Sunday et du Mail Online. (PA)
Le duc de Sussex a rejoint l’année dernière un groupe de personnalités, dont le chanteur Elton John, dans une action en justice contre l’éditeur du Daily Mail, du Mail on Sunday et du Mail Online.
Le procès accuse Associated Newspapers Limited (ANL) de se livrer à divers moyens d’activités criminelles pour obtenir des informations sur des personnalités de premier plan au fil des ans.
Elizabeth Hurley, Sadie Frost, David Furnish et Doreen Lawrence constituent le reste des plaignants à l’origine de l’action en justice.
Ils affirment avoir été “victimes d’activités criminelles odieuses et de violations flagrantes de la vie privée”, d’après une déclaration de leurs représentants à l’époque.
Le groupe a accusé l’ANL d’avoir embauché des détectives privés pour commettre des actes illégaux tels que la mise en place d’appareils d’écoute dans les maisons et les voitures et l’enregistrement d’appels privés. (PA)
Le groupe a accusé l’ANL d’avoir embauché des détectives privés pour commettre des actes illégaux tels que la mise en place d’appareils d’écoute dans les maisons et les voitures et l’enregistrement d’appels privés.
Il affirme aussi que l’éditeur paierait des policiers corrompus pour obtenir des informations privilégiées, se livrerait à l’usurpation d’identité et à la tromperie pour obtenir des dossiers médicaux, et piraterait des comptes bancaires et des transactions financières par “des moyens et des manipulations illicites”.
Aujourd’hui commence une audience préliminaire de quatre jours à la Royal Courts of Justice de Londres, au cours de laquelle l’ANL devrait essayer de faire rejeter l’affaire.
L’éditeur a rejeté les allégations de “diffamations absurdes” et a qualifié le procès de “tentative pré-planifiée et orchestrée d’entraîner les titres du Mail dans le scandale du piratage téléphonique”, d’après PA Media.
Lundi marque le début d’une audience préliminaire de quatre jours à la Royal Courts of Justice de Londres, au cours de laquelle l’ANL devrait tenter de faire rejeter l’affaire. (PA)
Un porte-parole de l’ANL a également ajouté que les allégations étaient “des allégations non fondées et hautement diffamatoires, fondées sur aucune preuve crédible”, rapporte PA.
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