Les conclusions publiées mercredi (jeudi matin AEDT) par les responsables du renseignement américain interrogent sur les soupçons de longue date de nombreuses personnes qui ont signalé des cas d’après lesquels la Russie ou un autre pays pourrait avoir mené une campagne mondiale pour harceler ou attaquer les Américains en utilisant une forme d’énergie dirigée.
Au lieu de cela, affirment les responsables, il y a plus de preuves que les états étrangers n’étaient pas impliqués.
D’après les responsables, il y a plus de preuves que les états étrangers n’étaient pas impliqués dans les cas de “syndrome de La Havane”. AP Photo/Desmond Boylan, Fichier) (AP)
Dans certains cas, les États-Unis ont détecté parmi les gouvernements adversaires une certaine confusion à cause des allégations et des soupçons d’après lesquels le « syndrome de La Havane » était un complot américain.
Deux responsables familiers avec l’évaluation ont informé les journalistes sous couvert d’anonymat, conformément aux règles de base établies par le directeur américain du renseignement national.
Les enquêteurs ont examiné environ 1500 cas dans 96 pays. Dans certains cas, le personnel qui faisait partie de l’enquête était sur le terrain à certains endroits tandis que de nouveaux rapports de cas possibles de syndrome de La Havane arrivaient.
Sept agences américaines ont contribué à une enquête pluriannuelle.