L’intérieur de cette voiture représentait une gigantesque amélioration par rapport à son prédécesseur. Renault, toutefois, n’a pas résolu toutes ses bizarreries et défauts d’un seul coup, il y a donc toujours une histoire mitigée à raconter.
Mais dans l’ensemble, la voiture peut être considérée comme agréable, utilisable et bien équipée, même si elle n’a pas fait référence en termes de qualité des matériaux, de praticité ou d’espace pour les passagers.
L’empattement a peut-être augmenté, mais l’emballage est évidemment défectueux. La faible profondeur des pieds avant et la proximité des pédales obligent les conducteurs aux jambes plus longues à employer une plus grande partie de la longueur totale de l’habitacle de la voiture qu’ils ne le feraient normalement simplement pour se sentir à l’aise, privant ainsi d’espace ceux qui se trouvent à l’arrière, avec de l’espace pour les pieds et les genoux. serré.
Le coffre est de bonne taille et dispose d’une large ouverture, mais sa lèvre de chargement est haute, il n’y a pas de planche de coffre réglable en hauteur et les dossiers des sièges arrière ne se rabattent pas intégralement à plat.
La qualité des cabines est bonne pour la plupart mais assez médiocre à quelques endroits. Les parties en cuir des sièges sont douces et tactiles, par exemple, mais certains plastiques de la console de climatisation présentent une finition décevante.
Les zones de stockage et les fonctionnalités pratiques pourraient aussi être améliorées. Les balconnets de porte manquent de largeur utile, les porte-gobelets et le compartiment central sont tous deux peu profonds et la boîte à gants est de taille moyenne habituelle, ce qui met en doute la bonne nature de quiconque achète une conduite à droite.
La plus grande différence entre cet habitacle et l’ancienne voiture est l’ambition. Tandis que la Mégane précédente était plastique et simple, celle-ci est dotée d’un éclairage d’ambiance, d’instruments à écran plat, d’un grand écran multimédia orienté portrait et de garnitures chromées qui la rendent plus sophistiquée.
Sur le plan de l’équipement, il y avait six versions parmi lesquelles choisir : Expression+, Dynamique Nav, Dynamique S Nav, Signature Nav, GT Line Nav et GT Nav. La finition d’entrée de gamme habille de série la Mégané avec des jantes alliage 16 pouces, un régulateur de vitesse, des phares antibrouillard avant, une aide au démarrage en côte et une assistance au freinage d’urgence de série à l’extérieur, tandis qu’à l’intérieur on retrouve un tuner DAB, Bluetooth, connectivité USB, climatisation, et vitres électriques.
Passez aux versions Dynamique Nav et vous obtenez des essuie-glaces et des phares automatiques, des rétroviseurs extérieurs chauffants et réglables électriquement, une sellerie en cuir, une climatisation à deux zones, un accès sans clé, un système audio Arkamys, de même que le système d’infodivertissement R-Link 2 de Renault avec un Écran tactile de 7 pouces et système de navigation TomTom. Tandis que la Dynamique S Nav a également ajouté une caméra de recul, des jantes en alliage de 17 pouces et un écran tactile portrait de 8,7 pouces à un ensemble en plein essor.
Les modèles Signature Nav disposent de jantes en alliage de 18 pouces, d’une sellerie en cuir et de phares à LED, tandis que la GT Line Nav Megané bénéficie d’un kit carrosserie agressif et de sièges sport. Le modèle GT Nav haut de gamme bénéficie de tous les équipements du modèle Signature Nav, de même que des 4 roues directrices, des capteurs de stationnement et un moteur essence 1,6 litre peaufiné Renaultsport.
Les zones de navigation, de divertissement, de climatisation et du centre de contrôle du véhicule sont accessibles sur l’écran tactile de 8,7 pouces.
Il s’agit certainement d’un écran de bonne taille et doté de la fonctionnalité « pincer pour zoomer », qui tend à donner l’impression d’être utilisé en tant qu’une tablette ou un smartphone.
Cela semble obsolète de nos jours, mais la réactivité au bout de vos doigts est plutôt bonne. Les détails de la cartographie de navigation sont toutefois un peu clairsemés et les graphiques du système en général sont quelque peu basiques.