Dans un entretien datant de 2015 est accordé au magazine Society, l’actrice du film “la boom” n’a pas hésité à dézinguer un “monument national” du cinéma français ainsi que deux autres acteurs.
L’actrice que l’on connaît plutôt discrète et pas fan des projecteurs, n’a pas hésité à livrer sa façon de penser quant aux rencontres marquantes de sa vie, et elle n’en garde pas que de bons souvenirs.
La comédienne a aussi participé à des films cultes, notamment en incarnant le rôle d’une James Bond girl dans le film le monde ne suffit pas, sorti au cinéma en 1999.
Elle s’est également affichée aux côtés de Mel Gibson après avoir décroché un rôle important dans le film Braveheart, réalisé par Gibson lui-même.
Fidèle à elle-même, Sophie Marceau n’a pas hésité à dépeindre un Mel Gibson “nerveux et parano” et qui “n’arrête pas de vociférer”.
Elle ajoute “Quand je suis arrivée sur le tournage, il avait déjà enquillé plusieurs mois à filmer des batailles énormes en Écosse. En Irlande, pour la deuxième partie du tournage, au lieu de tomber sur un type à bout, je rencontre un homme charmant, très serein avec son équipe, sérieux, hyper détendu”, s’était-elle souvenue au cours de l’interview.
Mais l’actrice a déchanté lorsque six mois plus tard, après avoir recroisé Mel Gibson. “Je le revois à Hollywood et je ne le reconnais pas. Il n’a pas la même tête. Nerveux et parano, il n’arrête pas de vociférer”, avait-elle dévoilé.
Mais Gibson n’est pas le seul acteur à en prendre pour son grade puisque l’actrice s’en prend également à Tom Cruise “.
“Tom Cruise, si vous le mettez sur un bateau et que vous tirez un feu d’artifice, il va monter sur le mât pour qu’on le regarde lui et pas le feu d’artifice”.
La crise a également partagé l’affiche du film “Police” de Maurice Pialat avec Gérard Depardieu, et le moins qu’on puisse dire est qu’elle n’a pas gardé un excellent souvenir de cette collaboration.
En effet, elle affirme lors de l’interview: “Depardieu ne voulait pas que ça se passe bien entre son réalisateur préféré et moi…” et ajoute “Il s’est employé à nous monter l’un contre l’autre, Pialat et moi. C’est un prédateur, Depardieu, il faut qu’il bouffe tout et tout le monde. C’est pour ça que Depardieu est Depardieu.”